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z		BILLET D'HUMEUR
		Le concert du samedi 5 mai à "La Chapelle" à Toulouse fera date dans l'histoire du tourisme!


		Pour la première fois, Gigi l'amoroso a été interprété sous les oreilles d'un public tant ébahi qu'attendri.
		(Strugos à été excellent dans le "Gigi, c'est toi là-bas dans le noir?")
		Pour la première fois le concours Santiano fut lancé en concert. L'enregistrement de la chorale des spectateurs a été magistralement opéré par Deno sur son mini-disc. écoutez le résultat
		Un grand mystère touristique reste posé:
		Comment est-il possible qu'un public humain puisse supporter une telle avalanche de fausses notes, de breaks foireux, ... la foi peut-être?
		Comment est-il possible d'ailleurs que 7 êtres humains à peu près normalement constitués puissent produire une telle avalanche de fausses notes, breaks foireux, (etc... comme j'ai déjà dit tout à l'heure) de solos déjantés, de rythmes bancaux,.... ? ( J'en passe, et des meilleures)
		Comment est-il possible que:
		1 - Le représentant du festival de jazz de Luz (Je rappelle aux têtes en l'air et je sais qu'ils sont nombreux que nous y jouons le 7 juillet) ait été enchanté, a "très bien saisi l'esprit" (je cite) et nous programme en fin de soirée au bar.
		2 - des représentants de l'association toulousaine "les humouroïdes associés", organisateurs d'événements culturels plutôt pas tristes, tout aussi émerveillés, nous demandent de participer à leur soirée "le club merd".
		3 - des représentants de la chapelle, pensent à d'autres opportunités de concerts chez eux.
		Il semble que le seul véritable être humain de cette soirée ait été Jean-Luc. Il a été aperçu en début de soirée, mais à la fin du concert, il ne se trouvait plus dans la salle. Tout porte à croire que, comme il l'avait fait en mars au concert touristique à la Bière à Auch, il a préféré quitter la salle avant que l'intégrité et la fraîcheur de ses trompes d'eustache ne subissent des dommages irrémédiables. Si vous avez de ses nouvelles, dites-lui que nous lui faisons nos plus plates excuses et que nous n'avons mêmes pas fait exprès.




		Il semble aussi que le "bleu" (je veux dire Marc-Antoine Diaz et sa douze cordes, pour ceux qui ne sont pas au courant), adhère à fond au concept. Je me base pour l'affirmer sur les difficultés certaines qu'il paraissait ressentir à prendre la décision de regagner son bercail gersois à la fin des deux concerts que nous avons commis en sa compagnie. signé: Punkette